Qui est tu ? [Steveny R. Wood]

La cabane hurlante était un lieu de prédilection pour tout rouge et or qui se respectaient c’était pour eux un moyen de bravé le danger et de prouver leur courage a qui voulait bien les écouté. Pour Edward la cabane Hurlante était un lieu tranquille ou personne ou presque ne rentrait dans les profondeur de la maison. La plus grande pièce ou se situait, la cheminée et un vieux canapé bouffé par les mites étaient très souvent visité le reste de la maison était souvent déserté et notre jeune bleu et argent lui préférait bien plus le grenier et les livre ancien qui si trouvait rempli de toile d’araignée, et éclairer pas la lune et les étoile la nuit offrant ainsi un grand spectacle pour les passionnés d’astronomie. La demeure était tellement ancienne que la toiture était partie en morceau et qu’environ trois mètre de toit avait disparu. Mais Edward avait lancer un sortilège sur les vieux ouvrage afin de les protéger des dégât du temps.

Comme chaque jour pendant les vacance le jeune homme se rendait a Pré au lard ne supportant plus la lourdeur des lieux dans la maison familiale il venait manger un morceau chez tom au chaudron baveur et bifurquait ensuite à la cabane hurlante faisant bien attention de ne pas être repérer. Comme d’habitude quand il poussa la porte d’entrée celle-ci poussa une grande plainte ne supportant plus d’être bouger les gonds de celle-ci menacent de céder sous le poids a chaque fois. Mais cela lui importait peu il referma tout de même la porte derrière lui et emprunta l’escalier n’oubliant pas de sauté quelques marche qui ne résisteraient pas a son poids et l’expédierait sûrement dans le placard à balais ou pire dans la cave. Arrivé à l’étage des chambres et autres il se trouva devant un long couloir ou se trouvait d’innombrable portes il ne fit attention a aucune d’entre elle il avança vers le mur du fond et après avoir fait pivoté le cadre qui y était installé le mur s’ouvrit devant lui laissant apparaître des escalier menant au grenier.

Une fois passé le mur se referma derrière lui par instinct pour ne pas se trouver dans le noir il avait sortie son briquet et l’alluma faisant ainsi apparaître le feux éternelle représenté par la flamme bleu. Grimpant les quatorze marches le séparant du grenier il poussa la petit porte et entra la pièce était vide comme d’habitude le trou dans le plafond était toujours là mais grâce au sort du jeune homme même la pluie qui tombait finement sur la maison a cette heure la ne rentrait plus par le trou comme s’il y avait un mur invisible. Il s’approcha de la grande bibliothèque et saisit l’un des livre posé en diagonal, un livre qu’il avait commencé mais pas terminée la dernière fois. Il s’était a peine installé et avait lu seulement qu’une petit dizaine de page de son livre qu’il entendit des bruits de pas sur le parquet… Surprit d’habitude il entendait d’abord la porte d’entrée avant les pas et le parquet grincée, n’était donc t-il pas seule dans cette grande maison comme il le pensait ??

Je m'étais réveillée de super bonne humeur parce que je savais que je pouvais aller à Pré-au-Lard. Je projetais d'aller à la cabane Hurlante, comme j'en avais l'habitude, ce lieu était toujours désert et j'y étais allée pendant 4ans d'affilé... Je ne voyais pas pourquoi changer les vieilles habitudes, même pendant les vacances... Après avoir nourrit mon chat aussi énorme que blanc, Nebraska, qui m'avait réveillé en me léchant le visage et en me fixant de ses grands yeux bleus et en miaulant d'un air affamé. Je me lavais, m'habillais, me pomponnais et regardait mon chat qui miaulait en regardant dehors. Je savais que cela voulait dire qu'il savait que j'avais l'intention de sortir et qu'il voulait venir avec moi. Je soupirais. Ce chat allait me rendre dingue. Je pris mon balai (un éclair de feu offert par ma grand-mère peu de temps avant sa mort), calait mon chat dessus, l'enfourchait et sortis par la porte d'entrée qui se referma toute seule derrière-moi. Nous n'avions pas d'elfe de maison mais la maison de ma grand-mère était enchantée, elle se lavait toute seule et avait presque une volonté propre. Mon chat fut assez calme pendant le court voyage, se contentant de ronronner, le museau au vent, ses longs poils blancs et hirsutes me caressant les clavicules. Je devais le tenir contre moi et tenais donc le manche de mon balai d'une seule main... J'atterris en douceur devant le fil barbelé qui entourait la maison et mon chat sauta sur le sol avec un miaulement soulagé. Il me suivit docilement lorsque je m'avançais vers la cabane d'un pas assuré, mon balai sous le bras.

Nebraska se coucha sur un vieux canapé rongé aux mites et j'allais chercher un livre au premier étage dans une bibliothèque qui, comme par miracle, était intacte. Le voilà ! Un vieil ouvrage relié de cuir. Je redescendis et m'assit à côté de mon chat qui se lova contre moi et se mit à ronronner. J'ignore combien de temps je restais comme ça, en tout cas, le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque j'entendis quelqu'un arriver. Je regardais par la fenêtre. C'était un jeune homme, plutôt beau d'ailleurs. Je ne savais pas pourquoi mais je n'avais pas envie qu'il me voit, peut-être était-ce parce que je ne le connaissais pas et je ne savais pas ce qu'il pouvait me faire, peut-être que c'était un fou dangereux ? Je poussais un juron, cornais la page de ma lecture, refermais le livre, prit mon balai et intimait à mon chat de venir. Il me suivit docilement tandis que j'allais me cacher dans une armoire, telle une enfant qui avait peur d'être prise en faute. Il entra et se dirigea tout de suite vers la bibliothèque, il semblait connaître l'endroit.J'attendis une minute ou deux et sortis doucement de l'armoire en prenant soin de ne faire aucun bruit. Nebraska - qui avait commencé à s'agiter - sortit en faisant beaucoup de bruit, ses lourdes pattes produisaient un léger bruit sur le parquet.

- Chuuut !!
- Maouw...

J'étais sûre que l'inconnu m'avait entendue, je saisis mon chat et le serrais contre moi, pour ne pas avoir peur. J'entendais l'inconnu descendre dans les escaliers, je m'attendais à voir sa tête surgir d'une minute à l'autre...

Hs: Désolé c'est un peut court xD

Edward reposa donc son ouvrage a contre cœur sur l’étagère se trouvant le plus près de lui, puis sortie a son tour sur le palier du grenier. Rien pour le moment la maison était vide, mais il était sur d’avoir entendu du bruit il décidât donc d’allé un peut plus en profondeur dans la maison pour vérifier que celle-ci était belle et bien vide. Il avait fait seulement quelques pas dans les escaliers menant au rez-de-chaussée quand il s’immobilisa entendant un bruit non loin de lui, il y avait au moins deux personnes, il en était sur. Pourquoi comment il n’aurait su le dire la maintenant mais il savait qu’il y avait deux étranger dans la maison en plus de lui même bien sûr. S’approcha à petit pas il sorti rapidement sa baguette et se mit en potion d’attaque, près au cas ou, on ne savait jamais sur qui l’on pouvait tombé dans ce lieu… Il n’avait pas encore passé la tête dans l’entrebâillement de la porte qu’il entendit des pas précipité puis un petit « Chut ! » suffisamment expressif ce qui signifiait qu’il avait été repérer, puis à sa plus grande surprise un miaulement sorti de la bouche de la second personnes.

Pas tellement concentré, il ne pu retenir un grand éclat de rire… Malgré tout il apparu dans l’entrebâillement de la porte la baguette toujours prête a entrée en action. Une jeune femme avec de beau cheveux long et blond serrait dans ses bras un énorme chat blanc, on aurais put croire que l’animal était une boule de poile. Edward ce demanda même un court instant comment une créature comme lui arrivait encore à marché vue l’a taille et la grosseur qu’il faisait. Le jeune femme le fixait de ses deux yeux claire assombri par le maquillage de la jeune femme avait mit ce matin même. Elle semblait se méfier de lui malgré tout elle n’avait pas de baguette en vue ce qui lui fit baissé légèrement sa garde mais ne la rangea pas pour autant. Après quelques minutes a ses regardé mutuellement sens dire un mot le jeune serdaigle ouvrit la bouche pour et d’une voix calme et qui se voulait aimable lui dit :

- Salut ! Navré j’ai l’impression que je t’ai fais peur ? Il est a toi ce gros matou ?

Lui demandât-il plus pour détendre l’atmosphère que pour lancer la conversation.

Alors que j'attendais que l'inconnu descende du grenier, mon énorme chat ronronnant inconsciemment dans mes bras, je me rendis compte que j'avais oublié ma baguette magique près de mon livre... Non mais quelle sotte !!! J'aurais du la mettre dans la poche de mon jean !! Je maugréait contre moi-même, dans ma tête en m'insultant de tous les noms. J'entendis l'escalier grincer, les bruits de pas se rapprochaient de plus en plus et mon coeur accélérait, comme s'il savait qu'il ne battrait peut-être plus dans quelques instants et qu'il voulait carillonner le plus possible. Mon chat tourna sa tête vers moi et me fixa de ses grands yeux bleus, visiblement conscient de mon anxiété. Soudain la porte s'ouvrit et je tournais la tête. Mon regard devait être apeuré. Mon chat laissa échapper un "Maouw", comme pour souhaiter la bienvenue à l'inconnu. Je caressais inconsciemment son poil long, doux et légèrement hirsute. Je sentais que je tremblais. Je ne savais pas pourquoi j'avais si peur, après tout, je pouvais prendre mon balai et l'enfourcher... Mais mon chat ? Ma baguette contenant un cheveu de vélane appartenant à ma grand-mère ? Et comment ferais-je sans mon Nebraska ? Mon chat adoré, je ne pourrais pas vivre sans lui, j'y étais trop attachée ! Les minutes passèrent, aucun de nous deux ne parlait. Je remarquais qu'il avait de jolis yeux et un joli visage. Mais il était armé et vu ma carrure, il n'aurait pas de difficulté à l'emporter sur moi...

A mon grand étonnement, lorsqu'il parla c'était sur un ton très gentil, comme s'il avait peur de m'effrayer... Ce qui avait été le cas ! Je me sentis très bête lorsqu'il dit : "Salut ! Navré j’ai l’impression que je t’ai fais peur ? Il est a toi ce gros matou ?". Mais... Mais... Mais, il n'était pas majeur ? Il devait être élève à Poudlard ! Je me rendis compte de mon erreur. Je regardais Nebraska qui me regardait en ronronnant, visiblement heureux du retournement de situation. Mes sourcils se haussèrent légèrement sous la stupéfaction.

- Heu... Oui, il est à moi, il s'appelle Nebraska et je l'aime beaucoup !

Nebraska frotta sa tête contre ma clavicule en ronronnant et je souris.

- Tu veux le prendre ?

Sans attendre la réponse, je tendis Nebraska à l'inconnu. Mon chat avait l'air très content, il ronronnait et frottait sa tête contre le torse de l'inconnu.

- Il est... Il est très affectueux...

Fis-je avec un petit sourire.

- Je suis Steveny.

Je souris à l'inconnu. Nebraska continuait de frotter sa tête pour laisser son odeur et ronronnait comme un moteur. Il me faisait un peu honte, en fait, mais il était tellement mignon que je lui pardonnais.

La jeune inconnu semblait se radoucir une fois que j’eu pris la parole comme ci ma voix mon timbre ou je ne sais quoi encore l’avait fait se sentir mieux je lui sourire en retour a son sourire beaucoup plus détendu la jeune femme ne tarda pas a faire les présentation que se fut de son chat quelques me mit rapidement dans les bras, rangeant ma baguette, je saisis le matou et le caressa affectueusement derrière l’oreille celui-ci avait l’aire d’apprécier répondant facilement par sa demande par leur ronronnement habituelle. Puis elle me précisa ensuite qu’il était d’une nature très affectueux même si elle lui avait pas dit auparavant le jeune Serdaigle s’en été rapidement rendu compte, se trouvant rapidement couvert de poile de chat car celui-ci ne cessait pas de frotté sa petite tête sur son torse. Puis la jeune demoiselle reprit de nouveau la parole sa voix était douce et donnait envie d’être écouté comme celle de sa sœur jumelle. Elle se présenta sous le nom de Steveny s’était un prénom peut commun mais qui restait originalement jolie. Il prit la parole a son tour ne laissant pas de trou dans la conversation pour lui dire :

- Enchantée de faire ta connaissance Steveny. Je me nomme Edward ! Désolé mais tu es Poudlard nom, j’ai une impression de déjà vue !?

Le jeune homme ne savait pas vraiment si la jeune femme était à Poudlard mais son visage pale ses yeux gris et ses cheveux blond lui disait quelques choses, maintenant le monde magique est vaste, il avait donc pu la voir partout dans ce monde… Peut-être même sur le quai du Poudlard Express, c’est souvenir était bien trop flou pour qu’il se souviennent ou exactement mais il se rappelait de ce petit visage, il lui donnait quatorze, quinze ans a tout cassé, mais elle était tous de même jolie. C’était pas vraiment son genre de fille il n’aimait pas spécialement les blonds, préférant les brun habituellement… Mais à quoi il pensait… « Ou Ouhh Edward réveille toi ! » (Rha les mecs après on dit qu’il ne pense cas ça…). Le jeune serdaigle sortit rapidement de ses pensés afin de s’approcher du canapé et d’y déposa le jeune chat dessus puis d’une main habile il s’épousta enlevant les poiles le plus possible pour évité que la jeune femme se face de mauvaise idée il lui dit :

- Il vaut mieux que j’enlève ses poiles de chat sinon j’en connais une qui ne m’approchera pas se soir ! Hum… je parle de ma chauffe souris, elle n’aime pas trop les chat en général elle s’en sert de balle de jeux…

Il lui avait dit cela avec un petit sourire amusé, bien sur sa chauffe sourit n’aimait pas les chat mais ne jouait pas avec préférant les mordre un bon coup pour les punir d’exister, puis les laissait tranquille. Elle avait déjà réglé son compte a quelques chats a Poudlard qui n’était pas près de revenir l’embêté de sitôt.

[HJ : excuse-moi, j'ai mit longtemps à répondre O.O]

Je me présentais après avoir fourré mon chat dans les bras de l'inconnu. "Enchanté de faire ta connaissance Steveny. Je me nomme Edward ! Désolé mais tu es de Poudlard non ? J'ai une impression de déjà vu.". Aaah, j'étais rassurée, il était donc un élève aussi. Bien. Je me trouvais très bête de m'être sentie en danger, après tout, il avait l'air très gentil. Et il était... Plutôt beau, oui, c'est sûr, il avait de très beaux yeux et son visage était élégant, il semblait avoir connu de dures épreuves, je ne fis aucun commentaire là-dessus, cependant. Sûrement l'avais-je déjà croisé à Poudlard. Edward... Ce nom me disait quelque chose... En même temps, il pouvait y avoir plusieurs "Edward" à Poudlard... Soudain, un nom de famille vint s'ajouter à mon tableau : Jansen, Edward Jansen, à Serdaigle en 6ème année. Ouf, enfin une tête connue ! A vrai dire, je n'avais jamais vraiment parlé à Edward mais c'était peut-être le moment de me faire un ami ?

- Oui, je suis à Poudlard, en effet Steveny Rose Wood, je vais entrer en 5ème année à Gryffondor...

Dis-je avec un grand sourire. Edward déposa délicatement Nebraska sur le canapé. Ce dernier semblait submergé par autant d'attention, moi qui le lançait sur la tapisserie du salon pour qu'il s'y accroche... Enfin, heureusement que ma grand-mère ne tenait pas trop à cette tapisserie sinon je me serais sentie mal, déjà que j'habitais sa maison alors qu'elle était morte... Bref... Je vis le jeune homme s'épousseter et je le regardais, interrogative. Avait-il quelque chose contre les poils de chats ? Un maniaque, comme l'était ma grand-mère ? Comme s'il avait lu dans mes pensées, il s'expliqua : "Il vaut mieux que j’enlève ses poiles de chat sinon j’en connais une qui ne m’approchera pas se soir ! Hum… je parle de ma chauffe souris, elle n’aime pas trop les chat en général elle s’en sert de balle de jeux…". Je ne pus m'empêcher de faire la moue, un peu dégoûtée. J'imaginais le petit animal prendre un chat et... R'haaaa !!

-Je comprends.

Dis-je simplement.

-Et... Ca fait longtemps que tu viens ici ? Moi je viens à toutes les sorties à Pré-au-Lard et je ne t'ai jamais vu alors... Peut-être qu'on s'est seulement croisés ?

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