Mon voisin le cadavre...

L'un donne une chose ou un objet avec laquelle on doit le tuer de la manière la plus gore possible.
Le suivant doit donc décrire son meurtre.

Je commence : un tournevis

(le suivant doit donc me tuer avec un tournevis, mais on veut du sanglant, des détails ! comme un rp, en fait)

Je tuai Rodolphus avec un tournevis, j'ai commencé par le lui mettre dans l'oreille puis à le tourner lentement, en profondeur. Il cria, voulu se mettre à genou mais je l'en empêchai. Je continuai à tourner le tournevis dans son oreille, très lentement pour le voir souffrir. Du sang sortit de son oreille et coulait le long de sa joue. J'appuyai un bout coup pour enfonçer le tournevis, et touchai son cerveau. Ses yeux devinrent blancs et inanimés. Je le retirai d'un coup sec, un filet de sang suivit. Il tomba raide mort.
Pour assouvir ma vengeance, je le tournai sur le dos et le poignardai à 10 endroits différents de son corps avec le fameux tournevis. Cette fois-ci le cadavre regorgeait de sang.

Matraque

Je me trouvais dans cette fichue ruelle depuis un moment, à me les geler... car oui, quoi qu'on puisse dire ou penser, il caille dans les ruelles... surtout à la nuit tombée. C'est simple, j'étais sûr d'avoir les orteils tout bleus, à force de faire le pied de grue comme ça.
J'étais en train de pester intérieurement contre moi-même et contre ces foutus paris qu'on se lance parfois avec Rabastan. Tuer quelqu'un à la façon des moldus... c'était idiot. Si j'avais bu un whisky de moins, j'aurais refusé, à coup sûr. Mais non, j'étais là, dehors, une matraque à la main et la mort dans l'âme. Je ne savais même pas qui j'allais tuer... la première personne à passer ferait l'affaire, ce n'était qu'un bête pari, après tout...

Tac Tac Tac... tiens, un bruit de talons. J'allais tuer une femme. Marrant... j'ai toujours aimé les femmes, mais je me suis toujours demandé à quoi ça tenait, finalement... Je suppose que je ne le saurais jamais...
Le bruit de pas se rapprochait, plutôt vif et furtif. Il me suffisait d'écouter en silence et de m'avancer au bon moment. Facile, j'avais fait ça des dizaines de fois, avec ma baguette. Quand j'entendis les pas à moins d'un mètre de ma planque, je me tins prêt. Ce n'était pas compliqué : encore deux ou trois pas et...

Vlan ! le premier coup de matraque s'abattit sur la nuque de la jeune fille qui marchait. J'y avais mis assez de force pour la sonner, à défaut de l'assommer. Je ne la connaissais pas, et tant mieux, j'aurais eu l'air malin si je me faisais la main sur la fille d'un pote ! Je savais que Rab' me regardait depuis un endroit dissimulé. Et pour garder mon "autorité" sur lui, je me devais de finir ce que je venais de commencer.

J'envoyai un autre coup de matraque sur la tempe de la jeune fille, cette fois. Mes gestes étaient sûrs et puissants, comme si j'avais fait cela toute ma vie... et à vrai dire, c'était un peu ce genre de choses que j'avais passé mon temps à faire. Le troisième coup vint éclater l'arcade sourcilière de Marion, le suivant lui explosa les lèvres et lui cassa quelques dents.

Je m'en donnai à coeur joie, c'est dingue le pied que je prends quand je m'amuse dans le sang !

Je continuai à frapper, de toutes mes forces, en y mettant plus de rage et plus de fureur à chaque coup. Je prenais plaisir à éclater la tête de cette fille, à lui faire péter des vaisseaux sanguins partout sur son visage tout bouffi et bleui par les coups.
Je pense qu'elle est morte lorsque j'ai frappé une quatrième fois sa tempe droite. Le sang coulait déjà beaucoup, mais ce coup-là fractura plus encore la boite crânienne et je me suis mis à rire comme un dément en voyant la cervelle commencer à sortir de sa boite...

Finalement, les moldus ont peut-être quelques idées sympa, de temps en temps !

une clef à molette

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