Alicia L. Schoenenberg ╰☆╮ Woah, your gravity's makin' me dizzy ♣ Relationships

Alicia Lisiane Schoenenberg
16 ans
Célibataire
[Elèves de Serpentard]
Raide dingue des chansons des Promi Bröör

Bastian ne fait pas vraiment partie de ma famille au point de vue du sang, mais il est pour moi comme un frère de coeur. Voyez-vous, je connais Bastian depuis d'innombrables années, nos parents étant amis et ayant tous les deux des origines allemandes. C'est d'ailleurs en Allemagne qu'on s'est connu, lors de nos jeunes années, ces années d'insouciance et de simplicité... Et ces longues années de fréquentation mutuelle m'ont permis d'avoir une confiance absolue en Bastian. A la longue, il était présent depuis tellement longtemps dans ma vie que je me suis mise à le considérer comme mon frère. Certes, j'avais déjà un petit frère, mais ce qui nous liait avec Bastian était tellement plus fort qu'une simple amitié...

Leighton est ma meilleure amie. On s'est rencontrée à une soirée dans un manoir quelconque. On avait quel âge ? 12 ans ? 13 ans ? Je ne me souviens plus exactement. Mais ce dont je me souviens, c'est de tous ces bons moment qu'on a passé depuis notre rencontre. Notre rencontre, je m'en souviens encore. Un défilé de mode. Tout à fait dans le style de Leighton. A cette époque, elle était déjà une grande fan et professionnelle de la mode. Moi, j'étais là pour faire plaisir à ma mère, mais j'y ai fait une belle rencontre. Puis après, le courant étant bien passé entre nous, elle m'avait invitée à une petite fête que tu organisais. Depuis, on est devenue quasiment inséparable. J'ai maintenant une confiance absolue en toi et moi, jamais, oh non jamais, je ne trahirais ta confiance !!

Il était une fois... Moi qui, comme tous les soirs, ne parvenais pas à dormir. Alors, comme à mon habitude, je décidai d'étudier. Ce soir-là, j'avais choisi la Botanique. Ce cours aussi ennuyant que celui d'Histoire de la Magie était pour moi aussi le plus difficile. Oui, j'en avais, des lacunes à combler dans le cours de Botanique. Donc, j'étais en train d'étudier et toi, Mathie, tu as commencé à me parler. J'ai rapidement ouvert mon livre plus loin, pour te faire croire que je prennais un peu d'avance. Ah, satanée fierté !
Au début, j'avoue que tu m'as ennuyée. Mais après avoir renoncé à mon cours en solitaire de rattrapage, j'ai commencé à t'apprécier de plus en plus au fil de notre discution. Et depuis, il nous arrive de nous asseoir dans les canapés de la Grande Salle pour discuter, après que tous les autres élèves soient partis. J'apprécie beaucoup ta compagnie et, même si nous n'avons pas le même âge, je pense qu'on est assez proches sans pour autant être toujours collées l'une l'autre, comme le font ces pimbêches que j'aime si peu. Peut-être qu'un jour, je te considèrerai comme une véritable amie, mais l'amitié se construit avec le temps et notre rencontre est encore trop proche du présent pour qu'un sentiment de confiance ait vraiment eu le temps de se créer...

Ca fait longtemps qu'on se connait... Depuis notre première année, à vrai dire ! Je ne sais pourquoi, mais quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai tout de suite su que je pouvais avoir confiance en lui. Intuition féminine, je pense ! On s'en aussi tout de suite bien entendu et il est devenu un de mes amis, mais Kate, ma chère soeur, ma dit qu'elle le trouvait bizarre, qu'il n'était pas de notre monde, de notre monde de Sangs-Pur. Et elle m'a conseillé fortement d'arrêter de le voir. Et je l'ai suivi, son conseil.
Souvent, Phoenix a essayé de venir me parler, mais Kate veillait toujours sur moi ! Que j'ai de la chance de l'avoir comme soeur. Franchement, vous en connaissez beaucoup, vous, des soeurs qui vous protègent comme Kate le fait avec moi ? Enfin, je n'ai jamais compris en quoi Phoenix était nuisible et dangereux pour moi, mais si Kate le dit, c'est que c'est vrai !
Puis, il a tout doucement arrêté de me harceler. Je pensais qu'il avait compris qu'on ne pouvait plus être amis et qu'il avait pris conscience du fossé qui nous séparait. Finalement, Phoenix avait renoncé à son projet de me parler. Enfin, c'était ce que je croyais...
En effet, depuis que Kate a quitté l'école, il y a un an, il n'a cessé de m'attendre à la sortie des cours, de vouloir me parler à tout prix... Mais je ne peux pas. Kate me l'a dit, elle savait qu'il voudrait à nouveau me parler une fois qu'elle serait partie. Mais j'ai tenu. Un an. Pendant les vacances, il m'a envoyé plusieurs lettres auxquelles je n'ai pas répondu. Mais je me demande vraiment en quoi il me serait nuisible... Il est tellement gentil avec moi... J'espère qu'il va vite arrêter sinon, je sens que je vais trahir Kate et recommencer à lui parler !

Drago et Malefoy. Ces deux noms, mis séparément, n'ont aucun effet pour moi. Mais mettez les ensemble et je ne pense plus qu'à lui. Son regard, son visage, sa voix, ses muscles se dessinant sous sa robe de sorcier, tout m'attire chez lui. A vrai dire, je tente vraiment de résister à tout ce que peut m'attirer, mais le plus souvent je ne parviens à le faire. Résister à cette attirance est au-dessus de mes moyens. Mais d'un autre côté, notre "relation" est assez spéciale. D'un côté il y cette attirance, que je qualifierais comme physique, et d'un autre, il y a ces provocations, ces disputes, ces chamailleries. En fait, en dépit du fait qu'il m'attire d'une façon inexplicable et beaucoup trop fort à mon goût, je le trouve beaucoup trop intéressé par son apparence et beaucoup moins par ses capacités mentales ou par ses études. Enfin, sur le point des études, on se ressemble assez... Et quand je lui fais le remarque, Monsieur se vexe et m'envoie chier. Quelques temps après, pour me faire pardonner, je retourne pour m'excuser, mais il m'envoie balader. Et tout cela n'est qu'un cercle vicieux. En fait, il est vrai qu'on ne sort pas vraiment officiellement ensemble, mais nous agissons comme un très vieux couple : incapable de se séparer pour de bon, mais aussi incapable de s'entendre pendant plus d'une semaine. Nos périodes de troubles se terminent souvent par un baiser, et par quelques jours d'entente, avant de replonger dans une période de chamailleries...

Pendant longtemps, j'ai été attirée par Jake. Un soir, alors que je revenais d'une retenue avec le professeur Rogue, je me retrouvais dans une classe vide. Bien sûr, j'aurais pu en avoir une autre si on m'avait aperçue à rôder dans l'école durant la nuit, mais rien ne fut. A vrai dire, je n'étais pas vraiment seule. Une autre personne était avec moi : Jake O'Doneell. Oui, oui, ce garçon par lequel j'étais attiré. Là, on a commencé à s'embrasser puis, ses caresses ont commencé à se faire plus osées. Mais moi, j'ai toujours refusé de coucher avec quelqu'un pour lequel je n'aurais pas de sentiments. Je suis alors sortie de la classe, sans un mot, sans un regard. Depuis, je tente d'éviter Jake, mais la plupart du temps, c'est sans succès car lui, il semble vouloir continuer ce qu'il avait commencé cette nuit-là...

Tout à commencé lors de notre première année, dans le Poudlard Express. Une petite bousculade au détour d'un wagon nous a entraîné dans une joute verbale... Bien jolie, bien meublée, et bien construite. Quand nous avons eu fini, on aurait pu croire que cela se reproduirait dans le futur. Et pourtant, nous nous sommes souri. Tu venais de passer avec brio ce que j'appelais "le test" pour que je puisse t'apprécier. Nous sommes même devenues amies... Jusqu'au jour où tu es sortie avec lui. Le nom de ce garçon, je ne m'en souviens plus ! Je me souviens juste qu'il était trois ou quatre ans plus âgé que nous. Je l'avoue, j'avais toujours eu un faible pour lui, et toi aussi. Finalement, tu es sortie avec. Et moi, tu me connais, toujours à jalouser ce que je n'ai pas, j'ai commencé à le charmer et finalement, il t'a larguée et il s'est mis à sortir avec moi. Depuis, tu me détestes, et je te le rend assez bien... Mon histoire avec ce garçon n'a pas duré très longtemps. En fait, je voulais juste te prouver que j'étais plus attirante que toi... Et j'ai été satisfaite du résultat ! Pourtant, actuellement, notre aversion l'une pour l'autre n'est pas prête de s'arrêter, ni même de se calmer.