CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. »

ANDREW EOGHAN
CARSON

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« IDENTITY CARD »

AGE : « 21 ans déjà que je me trimbale sur cette terre, 21 ans écoulés minutes par minutes depuis que j' ai ouvert yeux pour la première fois sur ce monde, 21 ans passés à apprendre à parler puis à me taire, à courir puis à rester à ma place. 21 ans que j' ai gueulé pour la première fois, et dire que même après tout ce temps, j' ai pas envie de m' arrêter. »

DATE ET LIEU DE NAISSANCE : « 1er Janvier 1975. Ouais, tu vas te dire premier bébé de l' année, premier bonheur est né mais voila, tu t' es pas mis à la place de mes parents alors. Le lieu, bien je te dirais que j' en ai aucune idée vu que j' étais trop jeune pour le savoir à l' époque, mais on va faire avec les brèves éclaircies de mémoires de mon père quand il n' est pas bourré, et on cochera Londres. »

NATIONALITE : « Je l' attendais au tournant celle la... Bien, j' vais sortir la compilation hein tant qu' a faire ; je suis né à Londres donc Anglais par droit du sol, d' une mère Francaise et d' un pere Américain donc Franco- américain par droit du sang ; c' est assez précis pour toi, honey ? »

SURNOM : « Carson, tout simplement, ou bien Eoghan si vraiment tu préfères les prénoms. On pourrait m' apeller Andrew dans la rue que je ne pourrais même pas me retourner tellement j' ai pris l' habitude d' être interpellé par mon second prénom ou mon nom de famille. Alors si un jour tu as envie de me parler, tu sais comment maintenant, cela t' éviteras de m' apeller Andrew et de me siffler comme un chien pour que je te remarques. »

CAMP : « Elle crains, cette question honnêtement - d' ailleurs tout votre questionnaire craint hein en passant - parce que je vais vous dire que si j' ai la Marque sur l' avant bras, c' est pas pour faire joli et la tout de suite j' en entends qui vont siffler dans le fond... A moins que ce ne soit mes oreilles elles-mêmes qui susurrent ce bruit à mes tympans du fait des insultes mais soit, notez tout de même mentalement que je suis un Mangemort. »

MÉTIER : « Feignasse ! Va t-on me dire lorsque je répondrais que je ne travailles pas le moins du monde, préférant laisser cela aux gens qui contrairement à moi n' ont pas la chance d' avoir un héritage assez étendu pour vivre sans lever le petit doigt quand il s' agit de trouver un boulot. Qu' est ce que vous voulez que je vous dises Je n' vais pas chercher la guerre à m' étendre trois ans sur le sujet, alors je n' ai pas de métier, et point à la ligne... Question suivante j' ai dis ! »

SITUATION FAMILIALE : « Marié, trois gosses et une belle-mère qui me soûle, mais qui me soûles ! Nan, mais franchement tu crois vraiment que je vais parler de cela avec toi pour te raconter la vérité ? Quoi c' est obligé de répondre ? J' t' en foutrais du c' est obligé de répondre oui ! Bon gueule pas, gueule pas j' ai dis, et laisses tomber j' ai pas envie de passer trois heures sur ton questionnaires débile alors voila, je suis fiancé à Anthéa Lewis, cela te vas ? Quoi ? Nan, on as pas d' enfants, pas encore. Et cherches pas à me faire parler sur ce sujet plus longtemps, ok, on passes le topic d' accord ? Oui, je sais que c' est moi qui décides, encore heureux ! »

ASCENDANCE FAMILIALE : « Ah, celle la aussi j' me disais que c' était louche si elle était pas encore arrivée... Mais soit, tu veux parler de cela et bien comme toujours je vais te faire plaisir. C' est bien d' avoir choisi pour la fin puisqu' après c' est fini si je t' ai bien écouté le sujet qui coince mais soit, mes parents donc. On va commencer avec l' idée qu' ils sont tout les deux de Sang Pur, et que moi, mon frère et mes soeurs le sommes donc aussi. Et c' est à peu près tout pour le général, parce qu' en vérité à part leurs huit enfants, c' est la seule chose qu' ils ont en commun. Alors attaquons la partie creusée de chacun d' eux. Ma mère, d' abord. C' est uniquement grâce à elle que tout ce que nous savons sur la Magie Noire, nous avons appris à l' apprécier et à le développer. Quand j' entends les gens dans la rue dire qu' une mère est sensée apprendre la vie à ses enfants et que cela ne s' arrêtes qu' à la simple idée de bien, je ricanes intérieurement. Déjà parce que le bien et le mal ne sont que des questions d' un certain niveau de point de vue, ensuite parce le véritable apprentissage est celui des valeurs auxquelles on croit ; et ma mère croyait - à raison pour moi, à tort pour certains - que les Moldus nous étaient inférieurs. Ma mère était unique à mes yeux parce qu' elle faisait passer nos intérêts avant les siens. Passons maintenant à mon père. La ou notre mère passait son temps à nous inculper les valeurs essentielles à ses yeux, mon père passait sa vie de bistrot en bistrot jusqu' a ce que tout les bars de la ville ou nous vivions soient fermés et à nous frapper la majeure partie du reste du temps, la minime étant consacrée à retrouver le chemin de notre maison et à s' atteler à détacher sa ceinture ainsi qu' a nous insulter de tout les noms vulgaire qui lui venaient à la bouche mais je ne vais pas m' étendre sur le sujet, ou vous allez pensez que je me la joue enfant martyr. S' il avait les mêmes idéaux que ma mère, ce n' est pas grâce à lui que nous les avons appris car il nous répugnait purement, simplement. Il ne m' inspirait - et il en était probablement de même pour le reste de la fratrie de huit enfants dont j' étais issu - que du dégoût et pour rien au monde je n' aurait suivi ses principes si ma mère et lui n' avaient pas eux les mêmes idées de vie. Maintenant, je vais arrêter mes descriptions la, de toute façons le questionnaire est fini je crois ? Oui, je me disais aussi. Allez, salut. »

ALL MY PERFECTION IS PHYSICAL

PHYSIQUE

Que celui qui s‘ est un jour considéré comme le plus bel homme ou la plus belle femme que la terre ai porté lève la main et se dise bien que ce n‘ est pas mon cas. Je ne pense pas être un idéal bien que je sache que des gens soient parfois plus malchanceux que moi niveau physique. J‘ ai donc la chance d‘ être situé avec un équilibre montré extérieurement comme était assez moyen, autrement dit ni perfection ni malchance totale. Et cela me convient en fait assez bien.

« C’ est étonnant comme il ressemble à son père disaient les gens lorsqu’ ils voulaient être le plus vexant possible envers moi, et je ne le nierais pourtant pas j’ ai une majeure partie des traits physiques d’ Andrew lorsqu’ il était plus jeune. Cela me déplait, mais puisque je suis né ainsi autant l’ accepter. Depuis la racine de mes cheveux bruns foncés, tombant au niveau de la nuque et possédant des reflets châtains au soleil jusqu’ a la couleur de mes yeux teintés d’ une variante marron noir, sans oublier la forme de mon visage plutôt bien tracée sans réellement me vanter - quoi que ce soit une des choses que je saches le mieux faire - il me parait bizarre mais inévitable qu’ une personne qui aurait connu mon géniteur et me voit ensuite fasses le rapprochement presque immédiatement. Je peut sans aucun problème cependant me fondre dans la masse de la banalité purement humaine, je ne me considères pas comme spécialement digne de la carrure d’ un mannequin. Mon seul trait particulier doit résider dans la Marque des Ténèbres que je porte à l‘ avant bras droit. Je n’ ai pas de défaut physiques particuliers, sinon les cicatrices ancrées dans la chair de mon dos mais s’ effaçant un peu plus chaque jour, et si je dois admettre que je suis assez gâté par rapport à l’ échelle de l’ espèce humaine, je ne me trouves pas spécialement attirant - ici pourtant, il ne s’ agit que de mon point de vue. Je dois mesurer dans le mètre quatre vingt cinq du haut de mes vingt et un an, et mon poids se rapporte à ma taille, ni trop élevé ni trop bas, se stabilisant dans la normalité des choses pour ainsi dire.

Je ne possède pas un style vestimentaire particulier ; il me suffit d’ avoir un coup de cœur sur un vetement pour l’ acheter immédiatement, en restant dans la limite de ce qu’ on trouve dans les boutiques sorcieres de Londres - le choix étant nettement bien limité par rapport aux magasins Américains mais le rapport n’ est pas la. Je ne pourrais pas m’ enfoncer plus longtemps dans le sujet, la limite de ce que j’ ai à vous dire s’ arretant la, et le travail de ma description physique étant terminé, passons à la suite. »

LIKE A ANGEL WITH BROKEN WINGS

CARACTERE

« Je pense que je suis une personne d’ un naturel assez agité. Enfant déjà, j’ avais cette attitude à vouloir tout le temps bouger, au point qu’ on m’ a souvent dit que j’ était un bébé des plus hyperactifs. Ce trait a grossi avec le temps, et je ne le vois plus comme un point positif ; il faut dire qu’ il est dans ma nature de me bagarrer avec les autres, pour quelques raisons que ce soit, ce qui engendre le fait que je ne soit pas du genre à me laisser marcher sur les pieds ou insulter de n’ importe quelle manière. Je n’ ai pas peur de m’ en prendre au personnes plus âgées, les personnes de mon entourage ont en souvent témoigné. Je ne m’ en prends pour ainsi dire pas qu’ a une seule personne, quand bien même m’ agacerait elle au plus haut point, c’ est mon frère ainé. Le reste des gens, plus ou moins âgés n’ ont pas à pousser le bouchon trop loin avec moi et le savent bien souvent.
Un autre des mes défauts est que je suis un adolescent assez bordélique pour employer le terme le plus juste. Je laisse souvent trainer des choses et, jusque dans mon sac de cour et ma valise, en passant par la chambre que j‘ occupes à notre Manoir, toute ma vie semble être organisée autour de choses trainées et laissées à même l’ endroit ou je les ai utilisées la dernière fois. Il faut dire que je ne me repère pas facilement dans un lieu trop rangé, et qu’ il faut bien avouer que mon « monde plein de bordel » est tout simplement organisé, autrement dit j’ arrive à savoir ou se situe chaque chose même dans le désordre le plus complet.
Je vais dire pour la suite que je suis une personne d’ un naturel à la fois curieux et ambitieux. J’ aime en partie le fait de devoir découvrir de nouvelles choses, et principalement celles qui touche à mon avenir duquel j’ ai une vision assez forte. Je ne me vois pas réussir dans une voix qui ne me satisferait pas entièrement ; j’ ai une envie assez étrange de réussir en gagnant de l’ argent assez fortement, tout en faisant quelques chose que j’ aime. Beaucoup de gens disent que c’ est quasiment impossible mais je n’ ai qu’ a regarder mes parents pour me rendre compte que ces personnes se trompent et n’ ont jamais eu de véritables ambitions.
Nous allons continuer sur un autre et dernier que je décrirais ici trait de ma personnalité, assez étrange je l’ avoue ; celui de la ruse, qu’ on pourrait presque tourner sur la roublardise. Il est vrai que j’ affectionne aider les gens, mais ce trait s’ engendre quand on constate que parfois, j’ aime l’ idée que les choses puisse se tourner dans un sens ou elle pourront me servir ne serait ce qu’ un minimum. C’ est légèrement malsain je vous l’ avoue, mais que dire sinon que personne ne peut être parfait ? »

Il n‘ est pas peu de chose de dire qu‘ a tout enclenchement positif, on retrouve le négatif et que c‘ est de cette façons, à la manière dont je vous ai conté mes défauts, je vais vous parler de mes qualités. Ne penser pas pourtant que ce soit plus facile de parler de mon coté positif que du négatif, au contraire je trouve cette chose plus complexe. Mais soit ! Je vais cesser de parler et vous raconter au mieux quelle sont les points mélioratifs de mon caractère.

« Je l’ ai dit précédemment, je suis d’ un genre bagarreur et pourtant je sais conserver mon calme jusqu’ a une certaine limite. Il ne faut certes pas pousser le bouchon trop loin, mais je ne suis pas du genre à m’ offusquer ou prendre une attitude nerveuse pour un rien, du moins je le pense. Je suis d’ un naturel assez sociable, et je ne pense donc pas avoir de difficultés particulièrement à me créer des amitiés ou que ce soit, mais si une personne m’ agace et ce en mode repeat, je lui faire bien sentir qu’ elle m’ énerves au plus haut point. Mais ne retournons pas dans le négatif la ou je dois décrire le positif et continuons donc.
J’ ai une passion particulière pour tout ce qui touche au sport et je ne suis donc pas de ces adolescents qui passent leur temps affalés sur un canapé, avec un paquet de nourriture graisseuse et répugnante - du moins de mon point de vue - à attendre que les choses se passent comme cela, ou qu’ il n’ ait plus rien à manger et qu’ ils puisse alors se permettre l’ effort de retourner aux cuisines. Non, j’ aime prendre le temps d’ aller faire du sport et d’ entretenir mon coté physique, héritage sans doute du fait que mes parents y accordaient autant d’ importance pendant mon enfance qu’ au coté mental.
On enchainera avec l‘ idée de chasser la pensée qu‘ une personne qui aime le sport n‘ est pas quelqu‘ un d‘ intellectuel. J‘ aime personnellement tout autant lire que courir ou me muscler. C‘ est une sorte de triangle de passions que j‘ affectionne particulièrement. Je suis donc passionné de sport tout autant que de lecture et les ouvrages que certains collégiens jugent énorme ne me dérangent pas, et plus au contraire il m‘ attirent.
Je me définirai également comme étant une sorte de battant. Une chose simple ne me suffit pas, je passes souvent une partie de mon temps à essayer de me surpasser et cela à n’ importe quel prix. Enfants déjà, mon frère et moi étions en permanence dans une rivalité engagée par nos parents qui voulaient que nous exprimions le fait d’ être toujours meilleur l’ un que l’ autre, et que j’ ai continué pour ainsi dire en solitaire lorsque nous sommes chacun de notre coté l‘ un et l‘ autre parti de la maison. Je passe donc ainsi mon temps à essayer de faire toujours mieux.
Je l‘ ai dit auparavant, me décrire dans le point de mes qualités et une chose complexe et je ne pense pas que j‘ arriverais à en écrire plus sur ce sujet. Je laisse donc le fait de devoir rajouter une couche de qualités inexistantes pour camoufler les défauts à mes camarades, et c‘ est avec cette raison que je pense que mon travail de description mentale est désormais fini. »

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HERE WE ARE AT THE FINISH LINE

PETITS PLUS

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« AU NIVEAU MAGIQUE »

BAGUETTE : « Ah, j’ étais sur qu’ on allais se revoir ! Je sais pas pourquoi des que j’ ai vu ta tête je me suis dis ; tiens, celui la s’ il me parle il va pas me lâcher, et j’ ai eu raison ! D’ ailleurs j’ ai toujours raison, ouais, mais bref. Questionnaire, le retour, cela sonnes un peu comme un film sur un dessin animé particulièrement débile, alors si on pouvais finir vite ce serait bien. Ma baguette… J‘ vois pas en quoi elle t‘ intéresse, mais soit. Elle mesure 32, 5 cm, se compose de bois de houx et contient un ventricule de dragon. Il n’ y a pas à s’ attarder deux ans la dessus, alors on passes à la suite hum ? »

PATRONUS : « Je n‘ en produit pas - pour tout dire, même si j‘ en produisais un je ne m‘ en servirais sans doute jamais, je ne considères pas que cela soit particulièrement utile. Donc c’ est fini pour ce sujet la, je n’ en utilises pas donc point à la ligne. »

EPOUVANTARD : « ’Tain, t’ es un peu con ou tu t’ amuses à poser des questions qui s’ enfoncent profondément dans le débile la ? Oui, je sais que c’ est obligé tu me l’ as déjà dit lors de notre première entrevue, j’ ai une cervelle cela me sers à me souvenir d’ informations merci ! Donc le mien représente ma fiancée couvert d‘ ecchymoses et traversé à divers endroit par une lame de poignard, tant au niveau de la gorge qu’ au ventre et ailleurs, le sang roulant de ses plaies et se dispersant autour d‘ elle et de son corps sans vie. C’ est dégoutant hein, tu dis ? Tant mieux, t‘ apprendras qu‘ on me pose pas des questions comme cela. Mais sans rire, c‘ est la vérité. »

SIGNES PARTICULIERS : « Ah, enfin une question un tant soit peu normale ! Mais on va passer cependant assez rapidement dessus car je ne possède aucun signe mental ou physique spécial hormis la Marque des Ténèbres ; il est naturel de dire que je me fond assez bien dans la masse de la banalité pure. »

DOUBLE COMPTE : « ~~Un autre beau gosse~~ Théodore Nott m'sieur Razz

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AVATAR : « Kevin Flamme, La perfection au masculin CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 350919

Hein ? Non, c’ est pas Gillette qui m’ envoie CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 444897

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TELL ME SOMETHING I DON‘T KNOW ♣
HISTOIRE

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Lily et Andrew avaient du, à un moment ou un autre de leurs vie s‘ aimer puisqu‘ ils s‘ étaient épousés sans qu‘ il y ai eu question de mariage arrangé - et pourtant, ils étaient tout les deux issus de familles de Sang Pur, française pour Lily et américaine pour Andrew, bien qu‘ il se soit installé en Angleterre. Il y avait du à un moment de leur vie s‘ allumer dans leurs yeux cette flamme de passion qu‘ on retrouve chez les personnes s‘ aimant mutuellement, il y avait du avoir un jour entre eux cette complicité amoureuse qui fait qu‘ on se comprendrais presque sans parler, que l’ expression le corps et des yeux suffisent à tout dire. Oui, Andrew avait du aimer Lily, et la réciproque avait doute due être vraie, mais leurs enfants ne pourraient affirmer si on leur posait la question qu‘ ils avaient un jour connu la passion qui unissait leur parents à l‘ époque ou ils n‘ étaient pas nés. Elle était magnifique sur les photos de l‘ époque se dirait un jour Carson quand il aurait l‘ âge de regarder les photos, et si les années avait légèrement entamé sa beauté de jeunesse, elle restait d‘ une grâce et d‘ une élégance qui faisait qu‘ il était fier enfant de préciser que plus tard, il l‘ épouserait. Son rire alors, résonnant dans la maison familiale avait quelques chose de magique, quelques chose qui donnait envie de rêver. Lui… Lui, il avait du être autrefois aussi gentil avec sa femme que ses traits faciaux étaient magnifiquement bien taillés toujours sur les photos de l’ époque. Carson ne les avaient de son coté à dater de ses six ans que connus en étant durs, insatisfaits et comme écœurés par la simple vue de ses enfants. Le temps qui s‘ était écoulé avait sans doute de le dégouter purement et simplement de la vie. Dans les moments durs alors, Carson se rappelait sa petite enfance, cherchait la moindre parcelle de souvenir heureux avec Andrew dans ses pensées. Il se rappelait les sourires, la joie présente, ou bien peut être que tout cela n‘ avait pas existé, et qu‘ il l‘ avait inventé. Il ne se posait jamais la question. Et il ne l‘ aurait pour rien au monde posée à Andrew.

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Juliet jouait dans l’ appartement Anglais ou elle vivait avec sa famille sans intérêt. Elle pensait à des choses, comme celle qui faisait qu’ elle avait conscience du haut de ses quatre ans mois quelques mois que son père ne la regardait souvent à cause de son sexe. Elle savait depuis longtemps qu‘ il aurait préféré avoir un garçon, qu‘ un fils aurait été bienvenu alors qu‘ elle n‘ était qu‘ une sorte de chose inutile. Et pourtant, souvent, quand elle passait devant sa mère, elle souhaitait que l‘ enfant qui faisait grossir son ventre fut une fille. Un garçon aurait été le préféré, et Juliet savait qu‘ elle aurait été reléguée au second rang derrière son cadet, alors qu‘ avec une fille, elle serait moins seule. Elle seraient tout les deux, se soutiendraient contre l‘ indifférence royale que leur père leur offrirait, et alors ce serait parfait. Elle aurait enfin une amie, une sorte de confidente qu‘ elle pourrait protéger comme ses poupées mais en bien mieux car ce serait un véritable enfant, et il lui suffisait de se dire cela pour que soudainement, elle se mette à haïr l‘ idée que ce soit un garçon. Elle eu alors étrangement la chance que ce soit une fille, le destin l‘ ayant voulu avait simplement dit son père avant d‘ aller s‘ enfermer dans son bureau, ne se souciant plus de sa femme qui venait d‘ accoucher dans une chambre de l‘ appartement. Ce fut enfin la nourrice de Juliet qui alla s‘ occuper elle-même de la nouvelle née et de sa mère, qui songeait en pleurant qu‘ il faudrait qu‘ elle ai un fils, ne serait ce que pour elle et pour son mari.

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Juliet avait alors six ans et demi, sa sœur cadette Mackenzie en avait un peu moins de trois. Elle attendaient toute les deux la naissance de leur frère ou de leur sœur, mais les heures se succédant l‘ une sur l‘ autre finissent pas lancer la note de la fatigue, et elle seront couchées toutes deux depuis longtemps lorsque deux hurlements, séparés chacun par une vingtaine de minutes, puis plus rien. Le silence, presque étrange pour deux jumeaux. Andrew a souri, cette fois. Il a caressé légèrement la tête de ses enfants puis il s‘ est allongé près de sa femme sans rien dire, en continuant à les fixer toujours en souriant, au point qu’ on aurait pu croire que tout son être était dirigé en ce moment vers la fierté d’ avoir des fils. 1er Janvier 1975... Tandis que Keagan Avery le cadet sombre déjà dans un sommeil profond, son ainé de quelques poignées de minutes Andrew Eoghan s‘ étire, balançant ses petits points dans l‘ espace qui l‘ entoure comme s‘ il cherchait à frapper l‘ air, fronce un peu le nez puis place ses yeux d‘ un bleu d‘ ou déborde le noir sur ses parents, les fixant comme s‘ il attendait qu‘ ils fassent quelques chose envers lui. Lily n‘ a pas besoin de chercher plus loin pour comprendre que de ses deux nouveaux nés, l‘ ainé sera le plus vif puisqu‘ il en faut bien un.

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Juliet n’ était plus la pour les protéger, mais aucun des trois enfant n’ avait montré aucune émotion lorsqu’ elle était parti dans le train pour Poudlard. Carson se disait parfois que sa sœur lui manquait, mais il ne posait jamais la question à Mackenzie ou à Keagan, et il explorait son monde. Il avait quatre ans et demi environ, et se prêtait à courir dans l‘ appartement, son frère sur les talons. Il aurait suffit que l‘ ainé tourne brusquement et fasses demi tour pour que son cadet réagisses immédiatement et fasses de même. Ils étaient presque pareil, à la différence que Keagan était plus fragile de santé que son jumeau, étrangement d‘ ailleurs, à moins qu‘ il ne soit plus réservé mentalement ce qui poussait à penser qu‘ il était malade. Des deux enfants, l‘ ainé avait au contraire développer un caractère plus poussé et allez parler à des inconnus en pleine rue, ou bien à des amis de son père lorsqu‘ ils débarquaient entre les murs de la maison familiale ne le dérangeait pas, quitte à recevoir par la suite une correction mémorable, et à attendre que ses paupières striées au beurre noir puisse se rouvrir à nouveau, que son nez, ses lèvres éclatés par les gifles cicatrisent et que la douleur physique des coups de pieds et de ceinture s‘ estompe pour recommencer à nouveau à aller aborder les gens sans aucune gène. Cela ne prends jamais plus de quelques jours, ce n‘ est pas comme si son père lui cassait les os, c‘ est différent. La dernière fois, le coup du poignet brisé, c‘ était un incident, Andrew l‘ a dit lui-même et Carson n‘ avait pas besoin de le croire, c‘ était sa faute s‘ il était trop vif. Il était cependant dommage de constater que l’ incident venait directement apres le fait que son père l’ ai surpris dans la rue en compagnie d’ enfants à qui il essayait d’ expliquer la magie mais qui se moquaient de lui en expliquant que cela n’ existait pas comme s’ il avait eu deux ans à peine. C’ est apres l’ avoir corrigé et dressé comme il en employait souvent la formule qu’ Andrew avait expliqué à son fils qu’ il existait dans le monde des gens indignes, impurs, et que les enfant avec qui il jouaient faisait partie de cette race ; les moldus, qu’ on appelait sangs de bourbe si l’ un d’ eux réussissait à voler de la magie et à pouvoir l’ utiliser. Carson n’ avait plus qu’ hocher la tete, ses levres ecchymosées et enflées étant dans l’ incapacité de bouger et de faire sortir le moindre son de sa bouche, mais il avait compris ; d’ ailleurs puisque son père le disait, c’ était que c’ était vrai. Il s‘ attire les corrections comme le sucre attire les guêpes avec ses bêtises songe parfois l‘ enfant dans ces cas la. Alors il explore son monde. Il cours dans l’ appartement, son cadet sur les talons comme prêt à aller n‘ importe ou, tant que Carson y va lui-même. Il suffirait cependant que l‘ ainé aille voir son père pour que Keagan secoue la tête et retournes en courant jouer dans sa chambre. Carson y va toujours tout seul, depuis qu‘ il a vu le Tatouage. Il est sur l‘ avant bras droit, dessinant sur la chair une tête de mort recrachant un serpent, et c‘ est la Chose la plus attirante que le jeune garçon juge avoir vu de sa courte vie. Pour un peu, le Tatouage aurait des allures de réel, et c‘ est ce qui fait qu‘ il aime passer son temps à tenter de la regarder, s’ essayant sans arrêt à tirer vers le haut la manche de chemise droite de son père. Carson croirait même des fois que ce Tatouage s’ anime, se gonfle comme en relief sur la chair, mais ses observations s’ arrêtent la car son père le repousse et pars immédiatement en transplantant. Alors Carson se mord la lèvres jaloux quand l’ homme quitte la pièce, et ses yeux prennent un aspect colérique. Il voudrait avoir lui aussi le Tatouage, pour ne plus embêter Andrew et pouvoir L‘ observer à longueur de journée sans jamais se lasser tellement il est attirant. Mais lorsqu‘ il demande à son père de l‘ emmener la ou on le lui a fait graver sur la peau et que ce dernier refuses, Carson sent son cœur se congeler et se gonfler sous le poids de la haine et de la jalousie. Le Tatouage est devenu la seule chose d‘ intéressante dans sa vie, et il se ronge de ne pas L‘ avoir lui aussi sur le bras.

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L‘ Amérique. Ce mot résonne dans la tête de Carson comme une sorte de libération, et pour la première fois de sa vie son univers s‘ ouvre sur une autre chose à explorer que le mystère du Tatouage qui le passionne cependant toujours autant depuis qu‘ il la découvert deux ans auparavant. Décembre 1981 signe Noel, et le jeune garçon de six ans n‘ a aucune envie de se gâcher l‘ esprit à penser que ce départ est d‘ un naturel précipité. Tout ce qu‘ il voit, c‘ est que son père le laisse depuis début Novembre observer la Chose de l‘ avant bras si fascinante autant qu‘ il le veut. Andrew semble lasse, écœuré soudain par la vie et si Carson ou Keagan y avaient prêté attention, les choses auraient peut être été formées autrement. Mais voila, Carson ne s‘ intéresse qu‘ au Tatouage, et Keagan n‘ ose jamais dans son attitude renfermée se permettre de dérange son père. Il a trouvé subitement l‘ idée qui lui permettrait de tenir semble t-il. Il s‘ est mis à boire, et les coups de ceinture qui résonnaient autrefois uniquement en cas de faute dans la maison se mettent à pleuvoir plus souvent. Carson essuie du sang roulant de son nez et de ses lèvres, se frotte les cotes et les bras, chevauche les bouteilles d‘ alcool qui traine dans le couloir qu‘ il ne verra bientôt plus lorsqu‘ il aura déménagé, se dit qu‘ au fond il n‘ aurait pas du naitre, et commence à penser que son père le hait vraiment quand il le frappe. Jusqu‘ a la fin du déménagement, il n‘ est sorti que rarement. Il est resté la, à la disposition de son père pour prendre les coups à la place de Keagan qui lui se sauve dans la rue avec Mackenzie âgée maintenant de bientôt dix ans. L’ année prochaine ce sera elle qui ira au collège anglais, et contrairement au fait qu‘ il n‘ avait pas appréhendé le départ de Juliet, Carson redoute le moment ou il ne verra plus la fille cadette de la famille que durant les vacances d’ été, lorsqu’ Andrew ira les chercher elle et l’ ainée qui a récemment eu quatorze ans. Il songe qu’ il ne sera pourtant pas seul en Amérique, qu’ il aura sa mère et Keagan mais aucun des deux ne peut grand-chose pour lui lorsque son père le frappe. Il ferme les yeux, chevauche une autre bouteille vide d’ alcool et se dit qu’ il verra bien. Au fond, peut être le changement de pays changera-t-il aussi la personnalité d‘ Andrew mais bah ! Il ne faut pas rêver non plus se dit l‘ enfant.

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Si l‘ on avait observé Carson a l‘ âge de dix ans, on n‘ aurait pas pu penser immédiatement qu‘ il n‘ était pas né en Amérique. Accroché à un téléphone portable, il passait son temps à appeler ses amis ou à leur envoyer des messages ; c‘ était bien plus pratique et rapide qu‘ un hibou. S‘ il avait du mal à se faire à la vie du continent Nord-Américain, elle lui avait semblé quelques mois plus tard bien plus intéressant qu‘ en Angleterre. Il y avait déjà la villa ou il habitait avec sa famille héritée de la branche paternelle ; elle était largement plus spacieuse et confortable que l‘ appartement ou il avait vécu jusqu‘ a présent. Puis était venu dans sa vie l‘ apparition de cette chose que les Américains appelaient techno-magie. C‘ était devenu si simple pour Carson qu‘ il lui avait suffit d‘ avoir un téléphone portable pour se sentir heureux. A sept ans, il en avait oublié jusqu’ au Tatouage qui le fascinait des lors, et il avait visé vers ce nouveau centre d’ intérêt découvert ; la technologie. Certes cela semblait au départ une affaire de moldus, mais son père n’ ayant pas manifesté le moindre signe montrant qu’ il était contre, se contentant de ne rien dire, Carson avait donc arrangé l’ affaire en disant à sa mère qu’ Andrew était d’ accord pour emprunter de nouveaux horizons de vie et s‘ ouvrir au progrès que leur vie en Angleterre avait jusque la « camouflé » en quelques sorte. Et quand Carson avait fait le tour de sa liste d‘ amis ou qu‘ il se baladait avec eux, il envoyait des messages à son frère, que la technologie ne semblait intéresser qu‘ assez peu mais qui avait fini par se borner à lui faire plaisir en achetant un téléphone. Le temps qu‘ il vivait en Amérique, Carson le passait en majeure partie à trainer des les cités d‘ immeubles, d‘ ou la plupart de ses amis étaient ressortissants. Parfois en longeant les divers immeubles du coin, assez loin du quartier riche ou il vivait, il songeait que cela devait de l‘ intérieur ressembler à l‘ appartement dans lequel il avait commencé à évoluer à Londres, et il se sentait nostalgique de cette ville, mais cela ne durait jamais longtemps. Il se sentait plus heureux ici qu‘ en Angleterre, avec Keagan et ses amis. Ainsi s‘ écoula une année comme les quatre autres précédentes.

Carson avait alors onze ans, et il en était évidemment de même pour son frère jumeau. Le pré adolescent fermait les yeux en songeant qu‘ en Septembre, Keagan et lui se séparerait pour la première fois pendant près d‘ un an, jusqu‘ aux vacances d‘ Été. Il fermait les yeux et se sentait mal à l’ aise lorsqu’ il songeait que c’ était sans doute pour son plaisir personnel qu’ Andrew les envoyait dans des académies d’ études différentes, et pourtant il se disait parfois qu’ il avait du mal à l’ admettre ; pourtant, leur père les détestait, il en était convaincu maintenant et c’ était sans doute une chose qu’ il avait inventé pour les faire souffrir un peu plus sauf que cette fois songeait l’ ainé des enfants, il avait réussi. Carson partirait donc à Boston au niveau du Massachussetts, son cadet à Dover dans le Delaware. Il sentait alors une sueur glacée lui dégouliner le long de l‘ échine, pareille au sang d‘ une blessure lorsqu‘ il songeait aux quelques trois mille huit cent quarante kilomètres qui séparait les deux ville, et il n‘ aurait pourtant pas su dire pourquoi. Alors il rouvrait ses yeux dans la limite de ce qu‘ ils étaient au beurre noir, et il essayait de s‘ inventer une réalité ou il n‘ aurait pas souffert comme cela.

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Carson souffrit sans doute mais il ne le montra pas. Il serra simplement les lèvres, sa main pressant celle de son jumeau comme pour le soutenir. Du haut de ses dix huit ans, il sentait la même sueur froide que celle qu‘ il avait connue des années auparavant quand il se voyait séparé de son frère lui couler le long de la colonne vertébrale, et il lui sembla alors qu‘ il s‘ était toujours figuré que l‘ annonce de la mort de ses parents lui feraient cet effet la. Mais ils n‘ avaient pas souffert à ce qu‘ on leur avait dit ; leur père était mort sur le coup, une question de cote lui brisant les poumons suite au choc et leur mère n‘ avait pas eu une notion de douleur quelconque si l‘ on en croyait l‘ idée qu‘ elle avait été droguée pour supporter la commotion cérébrale qui l‘ avait tuée lorsque ces enfoirés de moldus incapable de conduire une voiture les avaient percutés. Carson ferma les yeux et pour la première fois il se rappela qu‘ il les aimait. Alors il détourna les yeux et fixa par la fenêtre la plus proche le paysage qui s‘ imposait à ses yeux. Alors, incapable de montrer qu‘ il souffrait intérieurement parce qu‘ il venait de se rappeler qu‘ il s‘ agissait de ses parents, il perdit son regard dans l‘ immensité du ciel et des nuages, et comprit à ce moment la qu‘ il les avaient vraiment aimés.

Il se rappela d‘ une Lily qui un jour avait du aimer un Andrew, et que la réciproque avait du être vraie. Il se rappela d‘ un appartement anglais, de deux sœurs Juliet et Mackenzie de presque sept et quatre ans ses ainées. Il se souvint d‘ un jour ou il avait été frappé pour avoir parler à des enfants moldus, et qu‘ il n‘ avait pu qu‘ hocher la tête pour affirmer qu‘ il pensait la même chose que son père sur le sujet de leur impureté tant ses lèvres enflées le brulaient lorsqu‘ il essayait de les bouger pour parler. Oui, il se souvint des parcelles de souvenir de son enfance et pour la première fois depuis des années en perdant son regard dans l‘ immensité dy paysage qu‘ il voyait par la fenêtre, il sentit ses lèvres trembler lorsqu‘ une larme silencieuse lui roula sur la joue droite et qu‘ il l‘ effaça aussitôt, n‘ ayant aucune envie que son frere voit qu‘ il ai pleuré pour sa mère beaucoup plus que pour son père.

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Carson ne reprit pas ses études à la sortie du collège à dix sept ans. Il divisa en deux la fortune familiale avec son frère, n‘ ayant plus de nouvelle de ses sœurs depuis qu‘ elles avaient toute deux passé le cap de la majorité, constatant étrangement qu’ il ne leur en voulait pas de ne pas être venues à l’ enterrement d’ Andrew et de Lily. Il n‘ y aurait en vérité lui-même pas été si cela n‘ avait pas été pour soutenir Keagan. Ce n‘ est plus le gosse qui se passionnait du Tatouage, ni d‘ un téléphone portable. C‘ est devenu un adolescent d‘ environ dix huit ans, près à partir pour l‘ Angleterre, comme s‘ il regrettait soudainement ce pays comme autrefois, alors qu‘ il zonait dans les cités ou vivaient ses amis et qu‘ il comparait les intérieurs immeubles à ceux de l‘ appartement ou il était né. Mais il reviendrait sans doute errer dans les ruelles de Los Angeles ; si l‘ Angleterre formait ses racines l‘ Amérique était son pays, celui dans lequel il évoluait depuis onze ans environ. Il se sentait bien ici, et qu‘ importe s‘ il en partait pour une durée indéfinie, il finirait sans doute par y retourner. Dans six mois, dans un an ou dans dix, il savait déjà qu‘ il remettrait les pieds ici, dans son pays.

Deux ans encore se passèrent ; Carson allait sur ses vingt ans, vivait toujours en Angleterre ou il avait fini par trouver un appartement histoire de ne pas claquer sa part de la fortune familiale en une fois - d’ ailleurs il n’ avait jamais vraiment compris comment il était né dans un appartement même plutôt propre et bien tenu alors qu‘ ils était assez riche pour vivre sans travailler, sans doute son père avait il pensé la même chose que lui au niveau du claquage d‘ argent. Le jeune homme passait sa vie à errer dans les rues de la ville, crachant mentalement sur les moldus et les sangs impurs qu‘ il avait appris à haïr depuis son plus jeune âge. Voleurs de magie avait dit son père la première fois qu‘ il lui avait parlé d‘ Eux, et Carson était sur la même longueur d‘ onde de pensées. Ce serait sans doute cette haine qu‘ on lui enseignait depuis son enfance qui le pousserait à devenir Mangemort lorsqu‘ il le pourrait. Et ce serait finalement dans ses rangs qu‘ il la rencontrerait et qu‘ elle pousserait son cœur à battre encore plus fort à sa simple vue. Anthéa possédait ce pouvoir de le faire sourire rien qu‘ en apparaissant devant lui et il lui aurait donné son corps et son âme pourvu qu‘ elle pose ses lèvres sur les siennes.

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Le jeune homme se massait l’ avant bras droit, le caressait presque tandis que la douleur commençait à s’ estomper. Il adressa un sourire à celle qui était devenu sa fiançée, se dressant devant elle, torse nu et montrant donc la Marque d’ une tete de mort crachant un Serpent. Il songea avec une sorte d’ amusement qu’ il avait grandi maintenant et que ce qui autrefois avait été un caprice de gosse était maintenant une fierté. Il la caressa encore légèrement puis se pressa contre Anthéa et l’ embrassa comme au premier jour. Carson avait une fiançée qu‘ il aimait, la Marque des Tenebres gravée sur l‘ avant bras. Il se sentait bien. Heureux.

A des milliers de kilometres et un océan de la, Keagan errait dans les couloirs d’ un hôpital à l’ étage de la maternité. Il avait vingt et un ans, était marié depuis peu et attendait la naissance de son premier enfant. Et malgré tout il souriait et il se sentait bien. Heureux.

Juliet souriait elle aussi, en regardant son garçon de cinq ans jouer dans un parc, et elle se disait en ce moment que peut importait que le père l‘ ai laissé tomber, elle se sentait fière d‘ avoir un enfant pareil. Heureuse.

Elle avait vingt cinq ans et s‘ appelait Mackenzie. Elle caressait légèrement le corps endormi de sa fille de huit mois, tandis que son mari la regardait amoureusement. Elle se sentait bien. Heureuse.

Oui, les quatre enfants d‘ Andrew et de Lily étaient heureux chacun de leur coté, mais il n‘ étaient plus ensemble, et leur point commun était qu‘ ils n‘ avaient pas chacun en tête de l‘ être à nouveau un jour, dans un an comme dans dix.

OH MY GOSH CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 45622

Kevin Flamme CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 350919

Excellent choix d'avatar CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 466396

Re-Bienvenue CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 7283

Bonne Continuation pour ta magnifique fiche CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 7283

Bienvenue !!!! CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 476648

Ta fiche est vraiment magnifique !!

CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 362943

CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Merciii

Et De rien CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 68434

Re bienvenue CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Je confirme, Kevin Flamme est magnifique CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 524774

Belle fiche en passant CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 291904

Bonne chance & Bienvenue.
Tes fiches sont toujours aussi parfaites et tes vava's aussi.
Hum ... Un lien quand tu seras validée avec mes trois comptes, je ne te laisse pas le choix d'accepter ou pas :mouhaha:

Re-bienvenueeeeeeeee CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 589765

Pour pas faire comme les autres.. CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 328749

Mais elle est nul cette fiche Suspect

*Han je peut pas CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 48318

*

J'adore CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Nah, mais sérieux super la présentation CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Et les vava..j'en parle même pas CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 592468

Mdrr'

Merci

Aaah, je le sentais que si j' avais pas encore eu de commentaires négatif c' était pas normal CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 291904

Nan, sérieusement content qu' elle te plaise CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 7283

De même pour le choix d' avatar, compliment à toi aussi ~~quoique ce soit pour aller avec le perso'~~ ^^ Evanna quoi CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 7283

Merci encore CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Bienvenuuuue ! CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 7283

Je vais pas faire dans l'originalité (oh tiens, pour une fois), mais j'adore la présentation de ta fiche. *o* Le choix d'avatar aussi, tant qu'à faire. x)

Bon courage pour terminer ! CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 712915

Re Bienvenue a toi !!

EDIT

Eh ben, ça c'est de la fiche !! Shocked

Re bienvenuuuuue ! CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 583139

Tout est parfait donc je te valide chez les Mangemorts. CARSON ♣ « Feel the freedom, even if it's a lie. » 466396

» Loraleen Aléonor Jansen || Why I feel so empty?